Le secteur agricole est névralgique pour tout pays. Garantir la souveraineté alimentaire est nécessaire pour exercer la souveraineté nationale. L’Algérie a d’énormes capacités dans le domaine. Cependant, des efforts doivent être consentis pour arriver à exploiter toutes les richesses nationales.
Le chef de l’État s’est exprimé sur la situation et les perspectives du secteur agricole le 26 novembre. Il a notamment annoncé une série de mesures dans l’avenir. Il a notamment annoncé que l’Algérie va essayer de ne pas importer même un quintal de blé dur en 2025.
« Cette année, nous avons produit 80 % de nos besoins en blé dur. Il reste 20 % et nous sommes capables d’assurer notre autosuffisance en blé dur en 2025. J’ai donné des instructions au gouvernement d’essayer ne pas importer même un quintal de blé dur », a-t-il déclaré lors de son intervention.
Abdelmadjid Tebboune a également ordonné l’ouverture des banques à tous ceux qui désirent investir dans les chambres froides et le stockage. Évoquant la question du « manque ou de l’interruption des financements à certains moments », il a qualifié ces pratiques de « signe de sous-développement ». Il a ordonné aux banques « d’ouvrir leurs guichets pour octroyer des crédits à tout agriculteur désirant investir dans les chambres froides et le stockage des produits agricoles, afin de garantir la stabilité du marché et lutter contre la spéculation et la pénurie ».
Le dossier du foncier agricole sera définitivement clos en 2025, selon Abdelmadjid Tebboune
Le chef de l’État a révélé dans son intervention que « le secteur agricole a généré en 2024 une valeur de 37 milliards de dollars et contribue à hauteur de 15 % au PIB, par rapport à l’industrie qui reste à 5 % », mettant l’accent sur la nécessité d’une « relation organique » entre l’agriculture et l’industrie.
Concernant la filière des viandes, Abdelmadjid Tebboune a déclaré : « Au lieu d’importer des moutons pour l’Aïd, nous devons trouver une solution au problème de la cherté des viandes rouges, afin de garantir la stabilité du marché du bétail ». Il a également appelé le gouvernement à apporter des solutions à la filière des aliments de bétails.
Par ailleurs, le chef de l’État, s’exprimant sur la question du foncier agricole, a indiqué que ce dossier sera « définitivement clos » en 2025. « Le foncier agricole est un problème hérité depuis l’indépendance, mais nous nous attellerons à clore définitivement ce dossier en 2025 », a-t-il déclaré en appelant l’exécutif à « travailler avec les agriculteurs » pour trouver une solution à ce dossier, ainsi que « les cadres juridiques devant définir et protéger la propriété foncière ».
Il ne faut pas compter sur les agriculteurs Concessionnaire d’investir leur argent ou celui des banques ,sur les les terres qui ne leurs appartiennent pas ! Il ne faut pas rêver ! L’Algerie dispose de deux millions de terre agricoles,les meilleurs sur toute l’Afrique du nord ,qui ont jadis nourris les algériens et plus ! Aujourd’hui, ces terres « propriétés privé de l’État (????) sont délaissés au bon vouloir d’une bureaucratie stérile qui gel sont développement ! Il faut libérer le marché du foncier public et les jeunes et enyreprenants algériens vous montrerons de quoi ils sont capable a développer une agriculture moderne et performante ! Allez courage !
Il se trouve que cette nouvelle prouve que l’Algérie peut assurer a tout les Algériens assuré la suffisance alimentaire. Cela ne peut que nous réjouir , une grande avancée
Beaucoup de bla bla-bla suis agriculteur on nous fait volontairement des difficultés pour exploiter nos terres impossible même d’avoir un livret foncier….