Suite à la pandémie du Covid-19, qui avait député en fin 2019, de nombreux groupes pharmaceutiques se sont lancés dans la conception d'un vaccin. Des vaccins mis au point en un temps record, ce qui laisse place au doute concernant leur fiabilité. Selon de récentes études, ces vaccins seraient à l'origine de plusieurs pathologies graves.
Plus de 13,5 billons de doses de vaccins administrées à travers le monde
Selon les chiffres de Science direct, un total de 13,5 billions de doses de vaccins contre le Covid-19 ont été administrées à travers le monde. Au dernier trimestre de 2023, près de 75% de la population mondiale était vaccine. En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a enregistré, jusqu'au mois de juin 2023, 157 millions de doses administrées. Une campagne suivie de 200 000 réclamations pour effets indésirables constatés quelques jours après l'administration du vaccin.
La France est loin d'être un cas isolé. Des effets secondaires potentiellement liés à la vaccination ont été enregistrés à l'échelle mondiale. Selon une récente étude de Global Vaccine Data Network, publiée dans la revue Vaccine, les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca seraient étroitement liés à des cas de maladies graves. On parle notamment du syndrome de Guillain-Barré, constaté particulièrement chez les individus ayant reçu 3 doses AstraZeneca, un vaccin à vecteur viral.
Des symptômes liés à la contraction de la maladie
L'enquête se base sur une population de 100 millions de personnes vaccinés dans 8 pays différents, à l'instar de la France, du Canada, de l'Australie et du Danemark. Parmi les effets indésirables constatés chez les sujets étudiés, des convulsions, la paralysie de Bell, la péricardite ou encore de la myocardite. D'ailleurs, de nombreux cas de myocardite ont été signalés sur des patients vaccinés à l'ARNm de Pfizer-BioNTech et au Moderna. Chez certains individus, ces symptômes sont apparus dès la première dose. Chez d'autres, c'était lors du 2ᵉ ou du 3ᵉ rappel de vaccination.
Par ailleurs, l'étude précise que ces mêmes problèmes de santé sont également observés sur des individus atteints du Covid-19 et non vaccinés. Ils peuvent donc être provoqués par l'infection elle-même, notamment en ce qui concerne les thromboses, constatées chez la majorité des personnes atteintes, notamment les sujets âgés. Pour l'heure, cette étude est la plus récente et la plus fiable. Toutefois, selon la communauté scientifique, il est encore trop tôt pour affirmer que ces pathologies résultent de la vaccination et non pas du virus.